Les 30 et 31 mai – Par Vincent Le Grand, maître de conférences en droit public à l’université de Caen Normandie et Lionel Rougé, maître de conférences en géographie, aménagement et urbanisme à l’université de Toulouse – Jean Jaurès · Chercheur au LISST-Cieu (Centre interdisciplinaire d’études urbaines) / UMR 5193 CNRS

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L’IMTV (L’Institut Méditerranéen de la Ville et des Territoires) anciennement ENSAM (Ecole Nationale Supérieure de Marseille) est à l’honneur dans la revue « D’architectures » du mois de février/mars*. Après un bref rappel du contexte sur la raison du déménagement de l’école d’architecture, cet article décortique le projet mené par NP2F associé aux agences Seyler & Lucan, Marion Bernard et Point Suprême** et fait un parallèle avec un autre projet de l’agence NP2F , l’UCPA Sport Station situé à Bordeaux.

*SCOFFIER, Richard.  » La colonne, l’haltérophilie et l’étudiant en architecture  » . In : D’architecture. 2024, n°314, p. 87-103.

**A + U, 2024, mai, no 632 consacre son numéro à l’agence Point Suprême

Mercredi 20 mars – Avec l’agence normande de la biodiversité et du développement durable, partez à la découverte de cette entreprise d’insertion lors d’une demi-journée inspirante de visite et d’atelier. La visite de terrain « De la déconstruction au réemploi : l’entreprise d’insertion Les Bâtineurs donne une nouvelle vie aux matériaux issus du bâtiment » vous propose d’aller à la rencontre des acteurs et des actrices locaux qui se mobilisent sur leurs territoires et préparent l’avenir au quotidien. Installée à Petit-Quevilly, à proximité de Rouen, cette entreprise d’insertion intervient dans la démolition des bâtiments et traite les déchets du second œuvre provenant des chantiers de démolition ou de rénovation.

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Candidature jusqu’au 14 juin – Un Atelier hors les murs proposé par la fédération des Parcs naturels régionaux de France pour une rencontre entre des équipes d’étudiants de disciplines différentes (architecture, paysage, urbanisme, agronomie, sociologie, design, artisanat…) et les acteurs d’un territoire soucieux de renouveler la réflexion sur leur projet local.

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Le samedi 23 mars de 17h à 20h, venez échanger avec des acteurs de la construction et participer à des tables rondes autour de la pratique engagée et des enjeux actuels de l’architecture !

Le Forum des Bâtisseurs tend à mettre en réseau des acteurs de la construction qui défendent les mêmes convictions : respect de l’environnement, sensibilisation aux enjeux sociaux et utilisation des ressources et connaissances locales. Nous avons constaté que de nombreux étudiant·e·s, jeunes diplômé·e·s et professionnel·le·s aspirent à s’engager davantage dans leur pratique architecturale mais ne sont pas toujours informés des diverses opportunités qui s’offrent à eux. Si vous vous questionnez sur une manière d’allier vos valeurs et votre métier, que vous pensez pouvoir apporter des éléments de réponses à ces questions ou que vous êtes simplement curieux, rejoignez-nous pour ce forum, propice aux échanges et aux discussions avec des professionnels.

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Avec les représentant·es de Hangar Zéro, du collectif les Bâtisseurs et leurs invité·es.

Du 1er au 30 mars 2024, rejoignez la 6ème édition de Chantiers communs, le rendez-vous culturel qui donne à voir et à vivre les territoires vivants, solidaires et créatifs, qui s’inventent aujourd’hui en Normandie.

A travers plus de 70 rendez-vous, ouverts à toutes et tous, prenons ensemble le temps de découvrir et explorer ces lieux que nous habitons, imaginons de nouvelles manières d’y vivre et inventons ainsi l’architecture du monde qui vient !

Jusqu’au 27 avril – Une exposition de la Maison de l’architecture de Normandie – Le Forum, conçue par OLGGA Architectes

Animés par le plaisir partagé de concevoir, Guillaume GRENU et Nicolas LE MEUR, anciens étudiants de l’ENSA Normandie, défendent au sein d’OLGGA une architecture franche, sincère et responsable.

Pour OLGGA, construire, c’est en premier lieu se confronter à un territoire, interagir avec un site, embrasser une topographie existante. Leurs projets offrent des réponses radicales, matérialisées par des volumétries franches et assumées. Il s’agit avant tout pour eux de créer avec du sens, loin de tout effet de mode ou de tendance trop identifiée. Mettre en place une idée forte au service d’un lieu, c’est ainsi qu’OLGGA conçoit sa pratique, vécue comme un engagement de chaque instant. Chaque projet est ainsi l’occasion d’une profonde remise en question pour mieux ouvrir le champ des possibles et surtout, être le plus juste.

OLGGA envisage l’architecture comme une discipline ouverte, toujours à la recherche d’interlocuteurs variés pour élargir le champ des réponses. Résolument optimiste, OLGGA poursuit une approche expérimentale nourrie d’une motivation à toute épreuve et par la volonté de concrétiser un de leurs objectifs premiers : « Réimplanter l’architecture là où elle est délaissée et la rendre accessible au plus grand nombre ».

Le travail de l’agence a été distingué en 2010 par le Ministère de la culture et de la communication : OLGGA est lauréat des Albums des jeunes architectes et paysagistes (AJAP).

Texte écrit par Maryse Quinton, journaliste.

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Visuel : OLGGA, le Petit Quevilly ©Sara images

Du blanc, du noir, du rouge, en dominante, des verticales, des courbes qui s’enroulent et se déroulent, d’autres verticales qui prolongent la marche, des formes qui dialoguent avec des plans.

Une ponctuation, rigoureuse et ordonnée, faite de signes, les uns sur l’horizontale, d’autres allant vers l’éclatement, où la danse prime sur l’ordonnance tout aussi rigoureuse. Des contrastes, un travail en nuances qui se joue de la lumière, entre peinture, sculpture et architecture.

Réalisé par deux plasticiennes, Annick Doideau et Nicole Fellous, qui ont conçu et créé l’exposition spécifiquement pour l’espace du Forum.

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