Chloé Airelle – accompagnée de Julie Odile
Mobilité à l’Université de Milan, 2021-2022
Pourquoi avoir choisi de partir à Milan ?
J’ai choisi de réaliser mon Erasmus à Milan car j’avais déjà pu visiter la ville lors de l’Exposition Universelle. Cette ville regorge de références artistiques et architecturales, et avait aussi l’avantage d’être facilement accessible depuis la France en avion ou en train.
Ne parlant pas italien en partant, j’ai préféré choisir cette destination pour laquelle l’ensemble des cours était dispensé en anglais.
Ce qui a également fait pencher mon choix vers Milan est le très haut classement de l’École polytechnique dans le classement international des écoles d’architecture. Cela ne signifie bien-sûr en rien que les cours sont compliqués mais seulement que l’école a des capacités pédagogiques importantes et une influence au-delà des frontières de l’Italie.
Qu’est ce qui t’as le plus marqué dans ton établissement d’accueil ?
Le campus est très grand . Il y a des étudiants en architecture mais aussi en ingénierie et en design. Il y a beaucoup d’espace pour travailler autant à l’intérieur qu’à l’extérieur pour les beaux jours. Le campus est situé en centre-ville de Milan ce qui permet d’y accéder très facilement et ce qui rend aussi l’endroit très agréable. Le campus est comme une petite ville au sein de la ville, ouvert à tous et toutes.
Quels seraient les 3 conseils que tu donnerais à des étudiants choisissant cette destination ?
Même si l’organisation de l’Italie est assez similaire à celle de la France il y a quand même des spécificités administratives qui nécessitent de se renseigner en avance surtout en ce qui concerne la location d’appartement.
L’offre de cours de polytechnico est, elle aussi, très importante. Certains cours sont très spécifiques. Il peut donc être judicieux de se renseigner auprès des anciens élèves sur les cours les plus intéressants et sur leur niveau.
Bien-sûr pour vous donner envie de visiter Milan, il peut-être super de se renseigner sur les nombreuses activités culturelles possibles autant à Milan que dans les autres villes du nord de l’Italie. En effet, toutes les villes à proximité de Milan sont très facilement accessibles en train pour les petits budgets et regorgent de merveilles.
Un fun fact à nous partager ?
Milan est une ville très agréable avec beaucoup de parc mais malheureusement elle est infestée par les moustiques toute l’année même en hiver. Il était donc habituel de nous voir couvert de boutons même sur le visage. Nous n’avons pas réussi à comprendre le secret des Italiens dans ce domaine !
Pour finir 3 mots pour décrire ton expérience :
Soleil, rencontre et beauté
Adriana Rarivova
Mobilité à l’Université de Rabat, 2021-2022
Pourquoi avoir choisi de partir au Maroc ?
J’ai décidé de partir au Maroc car depuis plusieurs années j’ai entendu que du bien de ce pays et je voulais absolument découvrir cette riche culture.
Qu’est-ce qui t’as le plus marqué dans ton établissement d’accueil ?
J’étais fascinée par l’immensité du complexe universitaire qui a été construit. Tout a l’air gigantesque et il y a beaucoup d’espaces verts pour se promener. J’ai aussi trouvé que l’accueil était chaleureux et rassurant. Il y a toute une organisation pour accompagner les étudiants et étudiantes en mobilité.
De plus, l’Université organise des sorties guidées afin de mieux connaître l’histoire de Rabat et tous les lieux incontournables.
Quels seraient les 3 conseils que tu donnerais à des étudiants choisissant cette destination ?
Je conseillerai de vivre local, proche de la médina. C’est là où l’on peut vraiment avoir le plus d’expériences socio-culturelles et aussi gastronomiques ! J’ai appris le darija (langue au Maroc) rien qu’en achetant mes fruits et légumes dans les marchés locaux.
Je conseille aussi de vivre en collocation, c’est la clé pour créer de nouvelles rencontres et de partir en voyage à plusieurs.
Et mon dernier conseil est de profiter de chaque occasion qui vous est présentée pour prendre le premier transport (train, bus, voiture, dromadaire..) et partir à l’aventure dans ce beau pays.
Un fun fact à nous partager ?
- Fun-fact 1 : J’ai partagé un plat de couscous qui faisait la taille d’une table avec des personnes que je venais à peine de rencontrer. Comme quoi, le couscous crée des amitiés exceptionnelles !
- Fun-fact 2 : J’ai fait un voyage de 7h dans un bus de nuit pour aller jusqu’au désert, à 3h du matin nous avons fait une halte dans un endroit qui avait l’air d’être une station service perdue en plein milieu des montagnes de l’Atlas. Un vieux monsieur y préparait des brochettes. Nous nous sommes donc installés sur des petits tabourets à manger à 3h du matin avant de repartir vers le désert.
- Fun-fact 3 : Il neige au Maroc !
Et pour finir 3 mots pour décrire ton expérience :
Inoubliable, magique et aventure
Briac Madec et Marine Gauvin
Mobilité à l’Univiersité d’Athènes, 2021- 2022
Pourquoi avoir choisi de partir à Athènes ?
C’est en suivant les réunions du séjour de l’international que nous avons choisi cette destination, et notamment pour son architecture antique et le climat.
Nous avons pu découvrir également un autre établissement. Et cela permettait de faire une coupure après la licence sans « perdre » un an.
Dans un second temps, nous avons pu voyager dans les terres et sur les îles.
Notre séjour a été un succès personnel. Nous avons fait des rencontres et travailler notre anglais : un objectif de séjour.
Qu’est-ce qui vous a le plus marqué dans votre établissement d’accueil ?
Les 3/4 du complexe de l’Université d’Athènes sont des locaux laissés à l’abandon. Les murs sont tagués comme le veut le quartier dans lequel il s’inscrit.
Surtout le bâtiment central, image de l’école occupé à 100 %
Quels seraient les 3 conseils que vous donneriez à des étudiants qui choisissent cette destination ?
Ne pas se mettre de pression ni stresser quand à la laxité du travail, que ce soit la quantité, la qualité, et l’évolution. Tout vit au rythme de la ville et celui-ci est plutôt calme.
De profiter au maximum, de voyager, et de vous renseigner sur vos destinations, dans les terres ou sur les îles et privilégier certaines saisons au risque d’être seul au monde !
Un fun fact à nous partager ?
Il est très courant de s’appeler Costa, Panayotis ou Dimitris, et si votre nom est trop compliqué, vous risquez de porter un de ces prénoms.
Nous étions dans une ville du nom de Méthana avec une française à l’école d’architecture de Bordeaux, et étions seuls dans cette ville pendant 2 jours. L’attraction principale de celle-ci est un volcan, accessible par le seul taxi de la ville.
Suite à une ascension en voiture, puis 25 min de marche, nous étions au cœur du volcan, à rire entre amis et en disant des idioties. Puis, nous remarquons d’un couple profitant de la vue à nos cotés et en silence. En fait, il s’agissait de français, ayant entendu chacune de nos phrases !
Ce n’était pas sans gêne que nous les saluions, et c’est loin d’être la seule rencontre de ce type !
C’est donc avec ce dernier conseil que l’on va terminer : les français sont partout, attention à ce que vous dites ! D’autant qu’un bon nombre de grecs en parlent quelques mots.
Pour finir 3 mots pour décrire votre expérience :
Enrichissant, développement personnel et amitié