Fanzine

Labyrinthe #1

L’envie de s’approprier un espace dans lequel chaque doute, chaque questionnement, chaque sensibilité peut devenir tangible, a fait naître il y a 2 ans le projet de Fanzine « Labyrinthe » du collectif de doctorant.es de l’ENSA Normandie / ATE. La volonté commune de partager et de promouvoir une démarche exploratoire s’est étendue, intégrant chercheur.es, enseignant.es, artistes, dans cette dynamique de positionnement critique.

Ce projet d’édition s’appuie de nouveau sur cette figure emblématique qu’est le labyrinthe, lieu d’errance ou de flânerie, d’hostilité ou de refuge, symbolisant ce processus réflexif, et nous invitant à évoluer, à nous transformer individuellement et collectivement.

Ce numéro invite à explorer plusieurs thèmes s’inscrivant différemment dans un rapport à la transformation de notre réalité : la démesure – ou dé-mesure, la mutation, et la résilience.

***

Au sommaire du #1 – mars 2025 : édito / Labyrinthes et jeux vidéo / Mesurer la démesure / Je t’aime? / Rester chercheur, à quel prix? / Re-port ou les sept amers de Juvisy / Salle de fêtes / Leur joie

Équipe éditoriale : Antoine Apruzzese, Lucie Dehame, Alexis Desplats, Miléna Koutani, Léna Tullifer

Avec la contribution de Alexis Desplats, François Fleury, Nikolas Fouré, Miléna Koutani, Kacha Legrand, Léna Tullifer, Alix Turcq

LIEN VERS LE SITE DU FANZINE ICI

Publication :

sous la direction de Raphaël Labrunye

Smart French – La résilience de la ville moderne – 1945-1975

Les éditions des méandres et le laboratoire ATE font paraître l’ouvrage Smart French. La résilience de la ville moderne. 1945-1975.
Cet ouvrage collectif est publié sous la direction de Raphaël Labrunye, chercheur au laboratoire ATE.

Résumé de l’ouvrage

Le projet de recherche Smart French part du postulat que les ensembles de logements construits en France entre 1945 et 1975 possèdent des qualités architecturales sous- estimées, propices à la transition environnementale. Il offre une alternative aux approches globalisantes, souvent dépréciatives, et aux études monographiques, nécessaires mais peu généralisables. Face à l’absence de données statistiques sur cette architecture, l’étude s’attache à élaborer des indicateurs pertinents, à partir d’un corpus de près de 300 opérations, pour exposer des critères comme les caractéristiques bioclimatiques, l’éclairage naturel ou la ventilation.

L’analyse repose sur des données issues des revues architecturales contemporaines de ces ensembles et des discours des concepteurs. Grâce à des méthodes statistiques, l’objectif est d’identifier des récurrences architecturales, afin de nourrir des politiques publiques d’intervention ciblées sur ces ensembles, qui prennent en compte leurs spécificités architecturales et environnementales.

Auteurs et autrices

Shahram Abadie
Gauthier Bolle
Karim El Alami
Margherita Ferrucci
Élise Guillerm
Amir Mahamoud Issa
Raphaël Labrunye
Ignacio Requena
Daniel Siret
Yannick Sutter

La publication de cet ouvrage a été possible grâce au concours du Ministère de la Culture, du PUCA, de la Région Normandie, du laboratoire ATE (ENSA Normandie), du laboratoire Arts, civilisation et histoire de l’Europe – Arche – UMR 3400 (ENSA Strasbourg), de l’ENSA Clermont-Ferrant et de l’ENSA Bretagne.

Plus d’informations sur l’ouvrage ICI

visuel : couverture de l’ouvrage Smart French, éditions des méandres, 2024

Publication :

sous la direction de Valéry Didelon

Ce que l’architecture fait à l’écologie

Les éditions 205, l’École nationale supérieure d’architecture de Normandie et le laboratoire ATE font paraître l’ouvrage Ce que l’architecture fait à l’écologie.
Cet ouvrage collectif est publié sous la direction de Valéry Didelon, enseignant-chercheur au laboratoire ATE.

Résumé de l’ouvrage

En contrepoint de l’abondante littérature existante qui porte sur ce que l’écologie fait à l’architecture, le présent ouvrage renverse la perspective et ouvre un débat. Les auteurs qu’il rassemble, chercheurs et praticiens, s’y interrogent en effet sur les multiples manières qu’ont les acteurs de l’aménagement des espaces construits – architectes, paysagistes, ingénieurs, etc. – de façonner les attentes de la société en matière de lutte contre le dérèglement climatique, l’épuisement des ressources et l’effondrement de la biodiversité. Ce que l’architecture fait à l’écologie montre que leurs pratiques et discours déterminent les conditions de production du cadre bâti autant qu’ils sont déterminés par celles-ci. Dans cet ouvrage, l’architecture est ainsi considérée comme l’un des laboratoires où s’inventent la technique, l’esthétique et plus encore l’éthique qui peut orienter et guider l’action collective dans le monde qui vient.

Auteurs·rices:
Lionel Devlieger, ingénieur-architecte et historien
Julien Choppin, architecte
Philippe Coignet et Alice Hallynck, architectes
Marcos Colina, architecte
Gaël Huitorel et  Alexandre Morais, architectes
Delphine Hyvrier, doctorante et artiste
Ivan Mazel, architecte-urbaniste et docteur en architecture,
et Marie Flécheux, Thierry Joffroy, Julien Nourdin, David Rodrigues-Soares, Yannick Sieffert
Victoria Mure-Ravaud, architecte, chercheure, enseignante
Julie Neuwels, architecte et docteure en Art de bâtir et Urbanisme
Natalia Petkova, architecte

Visualiser un extrait en PDF
Lien vers le site de l’éditeur pour l’achat de l’ouvrage

visuel : couverture de l’ouvrage Ce que l’architecture fait à l’écologie, éditions 205, 2024

 

sous la direction de Noura Arab et François Fleury

<i>Ressources pour l’architecture écologique. Tome 2, Climat et ambiances</i>

Les presses des Mines, l’École nationale supérieure d’architecture de Normandie, le laboratoire ATE et la chaire Ressources Naturelles Renouvelables, Climat et Architecture, font paraître l’ouvrage Ressources pour l’architecture écologique. Tome 2, Climat et ambiances. Cet ouvrage collectif est issu du séminaire « Le climat , ressources ambiantales en architecture« , tenu en février 2023 à l’ENSA Normandie.
L’ouvrage est sous la direction de Noura Arab et François Fleury, enseignants-chercheurs au laboratoire ATE.

Résumé de l’ouvrage
Depuis ses débuts, l’architecture a toujours été influencée par le climat, s’installant là où il offrait un environnement favorable. Mais le climat n’est pas seulement une ressource pour l’architecture, il en est une des raisons d’être qui a longtemps façonné nombre de ses caractéristiques. Cependant, l’industrialisation a non seulement uniformisé les matériaux et les modes de construction, mais également les formes architecturales et le confort, ignorant les particularités climatiques locales. La consommation d’énergie fossile en a été largement augmentée, contribuant ainsi au réchauffement climatique auquel l’architecture doit aujourd’hui s’adapter. La climatisation se généralise, consomme encore de l’énergie et contribue à accroître l’îlot de chaleur urbain. Comment sortir de ce cercle vicieux ?
Il est temps de repenser l’architecture comme interface entre le climat et l’ambiance, en posant des questions cruciales face aux effets du changement climatique de plus en plus perceptibles. Ce deuxième tome sur l’architecture écologique explore les conséquences du changement de paradigme consistant à considérer le climat comme une ressource à valoriser et non plus comme un aléa dont il faut se protéger.
Il est crucial de replacer le contexte climatique au cœur de la conception architecturale et d’encourager des approches qui vont au-delà des normes environnementales standardisées pour garantir un mode de vie durable et respectueux de l’environnement.

Visualiser un extrait en PDF

Le lien vers le site de l’éditeur pour l’achat de l’ouvrage (version imprimée ou version numérique)

visuel : couverture de l’ouvrage Ressources pour l’architecture écologique. Tome 2, Climat et ambiances, presses des Mines, 2024

Publication :

Carole Lemans

<i>Couverture et façade de chaume. De la ressource à la mise en œuvre</i>

Les éditions Le Moniteur font paraître l’ouvrage Couverture et façade de chaume. De la ressource à la mise en œuvre. Cette publication est issue de la thèse de doctorat soutenue par Carole Lemans, maîtresse de conférence associée à l’ENSA Normandie et chercheuse associée au laboratoire ATE.

Résumé de l’ouvrage

Le chaume désigne tout à la fois le matériau, qu’il s’agisse de paille, de blé, de seigle, de roseau, et la technique de mise en œuvre utilisée. Aujourd’hui, l’intérêt pour le matériau est vivifié par le développement de la construction bas carbone.
Par ailleurs, depuis une vingtaine d’années, une production architecturale contemporaine de chaume émerge, en rupture avec l’expression traditionnelle de la chaumière ; elle s’exprime notamment par une utilisation du chaume en vêture verticale.
Ainsi, cet ouvrage illustré en couleurs présente l’architecture contemporaine de chaume, l’évolution de son utilisation, l’image qu’il véhicule aujourd’hui et les limites de la filière de production. Organisé autour de trois chapitres, cet ouvrage :
– présente les ressources françaises (roseau de Bretagne, de Normandie et de Camargue) ;
– décrit le processus de transformation de la production agricole à la botte livrable sur chantier, l’entreprise de récolte devant veiller sur plusieurs niveaux de qualité, comme la taille du roseau, son tri et son taux d’humidité ;
– détaille les techniques de fixation et alerte sur des points de vigilance
– expose les potentiels et les limites du chaume en France aujourd’hui, au travers du cadre réglementaire, des dégradations fongiques prématurées et de ses qualités écologiques
– présente les spécificités régionales par ouvrage particulier (égouts, faîtages, arêtiers, lucarnes, rives, etc.), éléments présentant aussi bien des enjeux constructifs que des supports d’expression.
– s’intéresse aux architectures contemporaines de chaume des climats de type océanique, en France, mais aussi aux Pays-Bas, où la production architecturale est riche et les savoir-faire spécifiques. Des exemples de vêture verticale en chaume sont fournis.L’ouvrage, portant à la fois sur la technique et l’esthétique du chaume, s’adresse donc tant aux artisan·es, aux architectes désireux de s’ouvrir à de nouvelles formes architecturales qu’aux particuliers intéressés par le matériau.

Sommaire de l’ouvrage cliquez ICI

Pour commander l’ouvrage sur le site des éditions Le Moniteur : https://boutique.lemoniteur.fr/author/carole-lemans.html

visuel : couverture de l’ouvrage Couverture et façade de chaume, éditions Le Moniteur, 2024

Publication :

Patrice Gourbin

<i>La reconstruction du bâti agricole dans le Calvados</i>

La Société des antiquaires de Normandie et le laboratoire ATE font paraître l’ouvrage La reconstruction du bâti agricole dans le Calvados après la Seconde Guerre mondiale. Cette publication est le résultat d’une recherche originale conduite par Patrice Gourbin, enseignant-chercheur au laboratoire ATE.

La parution de l’ouvrage a été permise par la contribution du ministère de la Culture, du département du Calvados et du laboratoire ATE.

Résumé de l’ouvrage

L’ouvrage situe la reconstruction agricole réalisée dans le département du Calvados par rapport aux débats nationaux. Débutant au début du XXe siècle autour de la notion de folklore, la réflexion prend une tournure très concrète sous l’Occupation, avec notamment la mise en place d’une grande étude sur les apports de l’architecture traditionnelle à la modernisation de l’agriculture. À la Libération, le Calvados était avec près de 2200 fermes détruites le département français le plus sinistré du point de vue agricole. Loin des orientations de la propagande réactionnaire de Vichy, la reconstruction agricole du département fut conduite après la Libération par l’État suivant une doctrine fonctionnaliste et prit l’aspect de cette « modernité raisonnable » commune à l’ensemble de la Reconstruction.
Dans le Calvados, la Coopérative de reconstruction de l’Habitat rural (CRHR) fut la courroie de transmission de cette politique. La transformation réalisée à cette occasion bouleversa le paysage de l’architecture agricole : séparation de l’habitation et de l’exploitation, externalisation du stockage ou de la transformation des produits. Elle fut accompagnée d’un vaste mouvement de remembrement et se se déroula dans un contexte de modernisation accélérée des pratiques agricoles, au moment où d’aucuns cherchaient à maintenir « l’agriculture paysanne » entre collectivisation et industrialisation.
Aujourd’hui, la question du devenir de cet héritage est posée, dans le cadre de la déprise agricole et de la périurbanisation.

 

visuel : couverture de l’ouvrage La reconstruction du bâti agricole dans le Calvados après la Seconde Guerre mondiale, Société des antiquaires de Normandie, 2024

Publication :

Fanzine

Labyrinthe #0

Le Fanzine « Labyrinthe » est un projet éditorial initié par un collectif de doctorant·es de l’ENSA Normandie / ATE, à cheval entre plusieurs statuts — étudiant·e, chercheur·e, professionnel·le, enseignant·e, architecte… — dans le but de partager et de promouvoir une démarche exploratoire, une position transitoire, liminale, en bordure de la pratique de l’architecture.

Le projet s’inscrit dans cette dynamique de recherche et de positionnement critique en s’appuyant sur la figure du labyrinthe, longtemps symbole d’un cheminement initiatique, mais peut être aussi et surtout, celui d’un espace où l’on apprend à s’orienter, où l’on découvre l’autre, où l’on se confronte au trouble et au complexe.

Et si l’on envisageait cet espace-temps non plus comme transitoire mais comme permanent ?

***

Au sommaire du #0 – janvier 2024 : édito / la promenade du doctorant / l’éloge du parcours / je te parle d’un lieu / superficie 2 : alternative model for politics on earth / lutter / récit d’une lutte locale : des bâtons dans les routes / l’amour d’Atelier Bow-Wow pour la mauvaise architecture

Avec des contributions de doctorant·es d’ATE : Antoine Apruzzese, Alexis Desplats, Miléna Koutani, Léna Tullifer

RETROUVEZ LE NUMÉRO EN LIGNE ICI

Publication :

sous la direction de Noura Arab et François Fleury

<i>Ressources pour l’architecture écologique. Tome 1, matériaux de construction</i>

Les presses des Mines, l’École nationale supérieure d’architecture de Normandie, le laboratoire ATE et la chaire Ressources Naturelles Renouvelables, Climat et Architecture, font paraître l’ouvrage Ressources pour l’architecture écologique. Tome 1, matériaux de construction. Cet ouvrage collectif est issu du séminaire « Les matériaux, ressources constructives en architecture », tenu en juin 2022 à l’ENSA Normandie.
L’ouvrage est sous la direction de Noura Arab et François Fleury, enseignants-chercheurs au laboratoire ATE.

Résumé de l’ouvrage
Aujourd’hui, les matériaux de construction ne peuvent plus être considérés comme des denrées de consommation, dont l’exploitation n’aurait pour limite que la rentabilité économique.
Cet ouvrage, premier d’une série de trois volumes, aborde les enjeux de l’intégration des matériaux à faible impact environnemental (biosourcés, géosourcés et de réemploi) dans le monde de  l’architecture et introduit un nouveau rapport à ces ressources, qui participe d’une relation bilatérale avec notre environnement. Cette approche modifie en profondeur les processus de conception et nous pousse à repenser les méthodes de recherche.
Contributions scientifiques, retours d’expériences pédagogiques, exemples d’expérimentations et controverses s’enrichissent mutuellement dans cet ouvrage qui expose toute la dynamique actuelle de la question des ressources en architecture. La pluridisciplinarité et la variété des points de vue montrent la complexité des problèmes, apportent des connaissances et des solutions, ouvrent des perspectives méthodologiques et créatives dans les domaines de l’enseignement, de la recherche et de la pratique sur la question des matériaux écologiques pour la construction.

Visualiser un extrait en PDF

Le lien vers le site de l’éditeur pour l’achat de l’ouvrage (version imprimée ou version numérique)

 

visuel : couverture de l’ouvrage Ressources pour l’architecture écologique. Tome 1, matériaux de construction, presses des Mines, 2023

Publication :

sous la direction de Dominique Lefrançois

<i>Chantiers de ville. Échanges, participation et hybridation urbaines</i>

L’ouvrage Chantiers de ville : échanges, participation et hybridation urbaines, sous la direction de Dominique Lefrançois (enseignante-chercheuse à ATE), avec la collaboration de Cécile Barbier et Nadya Rouizem (membre associée AHTTEP/AUSser) est paru aux éditions recherches.

Présentation de l’ouvrage

La participation des habitants est aujourd’hui portée sur l’étendard d’une ville voulue plus juste et plurielle. Elle n’a de cesse d’être critiquée, et par les habitants désertant les instances de participation, et par les professionnels ou chercheurs de l’urbain. Comment donc changer ou améliorer la donne ? Redonner à la participation la dimension politique qui lui fait défaut ? Faire en sorte que véritablement tous soient impliqués, y compris ceux délibérément ou non à l’écart de la norme ? Comment aussi imaginer une ville que l’impératif écologique nous invite à regarder ou penser autrement ?
À l’heure où le débat nécessite de mettre en présence des personnes étrangères les unes aux autres, où les relations de voisinage sont à penser non seulement entre les hommes mais aussi avec les animaux, où les frontières entre le public et le privé, ou encore entre la ville et la nature sont à reconsidérer, nous avons voulu susciter la confrontation de paroles de personnes d’obédiences et professions diverses, architectes, urbanistes, paysagistes, ethnologues, philosophes, designers, entomologistes, producteurs de cinéma…
Cet ouvrage est conçu comme melting-pot d’expériences et récits de différentes formes, d’analyses discutées ou plus impromptues. Pensé à l’instar d’un forum, il se nourrit de l’idée que du croisement de points de vue peuvent naître des perspectives autres pour bâtir une ville faite d’échanges et d’hybridations urbaines, forcée de se reconstruire sur elle-même, par essence en chantier permanent.

 

Chantiers de ville rassemble les contributions de Cécile Barbier, Nadya Rouizem, Nele Aernouts, Antoine Apruzzese (doctorant à ATE), Patrick Bouchain, Anne-Laure Chambaz, Thomas Decreus, Goliath Dyèvre, Lucie Faure, Romain Gallart, Patrick Godeau, Nicolas Guillon, Pascale Joffroy, Clotilde Joly, Stéphane Juguet, Claire Lemarchand, Houcine Messous, Francis Navarre, Mélusine Pagnier, Thierry Paquot, Coriandre Prudhomme, Mina Saidi Sharouz, Eddie Soulier, Juliette Spire.

La parution de cet ouvrage a été possible grâce à la participation du laboratoire ATE, du laboratoire AHTTEP-UMR AUSSER CNRS, du Ministère de la Culture et de l’ANR.

Pour découvrir le sommaire ICI

Plus d’informations et commandes après du site de l’éditeur

visuel : couverture de l’ouvrage Chantiers de ville. Échanges, participation et hybridation urbaines, éditions recherches, 2023

Publication :

Retour sur une expérience pédagogique multi-partenariale

Un laboratoire d’idées pour la ville de Cherbourg-en-Cotentin

Anne Portnoï, Gabriella Trotta-Brambilla, (dir.), Un laboratoire d’idées pour la ville de Cherbourg-en-Cotentin, septembre 2021

Coordonné par Anne Portnoï, École nationale supérieure d’architecture de Paris-La Villette, et Gabriella Trotta-Brambilla, École nationale supérieure d’architecture de Normandie, cet ouvrage rend compte du travail des étudiants de l’ENSA de Paris la Villette et de l’ENSA Normandie sur le territoire de Cherbourg-en-Cotentin et son Cœur de ville.